City on fire > Garth Risk Hallberg
Editeur : Plon
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31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu'à l'autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie, venu de Long Island, attend Sam pour assister à un concert punk. Mais Sam a un autre rendez-vous auquel elle tient plus que tout. Elle retrouvera Charlie dans quelques heures à la station de métro de la 72e Rue. À quelques encablures de là, dans Hell's Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d'invitation. Et s'il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette sœur que William, en rupture avec sa famille, lui a toujours cachée ? Pourquoi ne pas saisir l'occasion d'en apprendre plus sur William, son amant, l'ancien leader du groupe punk Ex Post Facto ?
Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s'écroule dans la neige...
Qu'est-ce qui peut bien unir ces êtres – qui n'auraient jamais dû être amenés à se rencontrer – à un meurtre commis au cœur de Central Park ? Au sein de ce roman choral, leurs histoires s'entremêlent et nous entraînent dans les recoins les plus infimes de la ville.
Avec ce livre, nous retournons en 1976, aux Etats-Unis.
Dans cette histoire, ce ne sont pas des personnages qui ont le grand rôle, mais bien une ville, celle de New-York, la NY des années 70.
Des univers bien différents qui pourtant se croisent et s'entrecroisent afin de démêler un meurtre.
Je dois bien vous avouer que j'avais une petite appréhension avant de le commencer, j'avais peur de ne pas accrocher. Je me voyais mal tenter de terminer un livre de 1000 pages en n'aimant pas le récit.
Mais j'ai eu pas mal de chance, car si on passe outre le fait du nombre de page, l'auteur a réussi à me faire aimer son livre et ce presque dès le départ.
Nous allons non seulement vister la NY des années 70, mais nous le ferons aussi bien dans les quartiers huppés, que dans les défavorisés.
Mais la NY des années 70, c'est aussi la décadence, la drogue, le rock, et nous allons passer par pas mal de choses avant la fin, l'auteur ne nous ménage pas.
Lorsque l'on sait que c'est un premier roman, eh bien je dois bien dire que c'est un pari réussi pour l'auteur et la ME qui a pris le risque de le publier.
Je serai ravie de lire Garth Risk Hallberg à nouveau.
Merci aux éditions Plon pour ce service presse.